Stephen Curry

Stephen Curry, you must know. Triple NBA champion, double MVP, the point guard has revolutionized the NBA in recent years, thanks in particular to his handle, his smile and his skill from afar. But that, everyone knows it already. That's why the grocers are going to talk to you a little more in detail about the one who currently makes the beautiful days of the team of San Francisco.

Petit truc cool à savoir déjà, c’est que Steph Curry, de son vrai nom Wardell Stephen Curry III est né à Akron, dans l’Ohio. Oui, oui tout comme LeBron James. Le ville proche de Cleveland ne possède même pas 200 000 habitants et pourtant, elle a vu naître deux des plus grandes légendes actuelles du basketball. Mieux encore, les deux bébés qui ont environ 3 ans et demi d’écart, sont nés dans le même hôpital. Du côté des épiciers, on aimerait bien savoir ce qu’ils mettent dans leurs biberons à Akron.

Sauf que bon, même si Curry est né dans l’Ohio, il n’y a pas vraiment grandi. Lui, contrairement à LeBron, a passé la majorité de sa jeunesse à Charlotte, près de son père Dell, joueur pro pour les Hornets. Le paternel d’ailleurs n’était pas là pour faire de la figuration : 6e homme de l’année en 1994, il a aussi terminé comme le joueur le plus adroit à 3-points de la ligue en 1999. Comme quoi, les chiens ne font pas des chats, d'autant plus que sa mère, Sonya, a joué au volley à haut niveau. Du point de vue de la génétique et de l’encadrement, on est bons.
D'ailleurs, ce n’est sûrement par un hasard si le petit frère de Stephen Curry, nommé Seth, évolue lui aussi en NBA (aux Sixers actuellement).


En tout cas, les gamins avaient la chance de suivre leur père partout, de se tester contre des joueurs NBA et d’avoir constamment un ballon entre les mains. Les deux frères détenaient un potentiel de mignonnerie incroyable et jouaient un réel rôle de mascottes auprès des joueurs des Hornets. Stephen Curry a donc eu l’habitude des projecteurs très tôt, tournant même dans une pub Burger King avec son père à à peine 7 ans. A l’occasion d’un concert de Kris Kross en Caroline du Nord, le gamin alors devenu ado, a même pu partager la scène avec le rappeur ! Il explique qu’aujourd’hui encore, c’est l’un de ses meilleurs souvenirs de jeunesse.

Quoi qu’il en soit, vous l’avez compris, la spécialité de la famille, c’est le sport, et notamment l’adresse de loin. Steph par exemple, détient deux records assez dingues : celui du plus grand nombre de tirs primés inscrit en une seule saison en NCAA, mais aussi en NBA.

D’ailleurs, la NCAA parlons-en. Steph Curry, à la sortie du lycée, n'intéressait personne ou presque. Considéré comme trop petit, trop fin, il ne reçut aucune promesse de bourse de la part d’un programme de renom. C’est ainsi qu’il choisit d’aller à la petite fac de Davidson, près de chez lui.

Là bas, il prend le temps de se former, de se développer, de grandir.... Plutôt que d’opter pour un one-and-done, Curry prône la patience pour se perfectionner au mieux. Il restera en tout et pour tout, trois ans à l’université, histoire d’être sûr de pouvoir être drafté avec un pick intéressant. Les épiciers pensent qu’il a eu raison. Après une saison à près de 29 points par match sous le maillot de Davidson, toute la grande ligue lui fait les yeux doux. C’est ainsi qu’en 2009, les Golden State Warriors, équipe dans laquelle il évolue encore aujourd’hui, le sélectionnent avec le pick numéro 7. Par contre, ceux qui pensent qu’il a brillé tout de suite, dès son arrivée, se mettent le doigt dans l'œil, tout ça notamment en raison de ses chevilles en cristal.
Pour sa 3e saison, par exemple, il ne joue que 26 matchs sur 82, et sa moyenne de points est en-dessous des 15 par rencontre, c’est faible. A ce moment-là, peu étaient prêts à parier qu’il deviendrait si rapidement la star incroyable qu’il est aujourd’hui.

A force de travail, d’abnégation et de courage, Stephen Curry détient désormais un palmarès affolant, mais surtout une aura exceptionnelle. Son influence sur le jeu est immense et ce, à un niveau planétaire.

Allez voir un match de kids aujourd’hui ! Même en France, les maillots de Stephen Curry prolifèrent et tous désormais veulent maîtriser l’art du shoot à 3-points en sortie de dribble avant même de gérer le double-pas. La façon de jouer au basket des jeunes a réellement changé (pour le meilleur et pour le pire) et le talent sans limite de Stephen Curry n’est pas étranger à ça.

Il faut dire aussi, que le meneur de jeu possède des mensurations dans lesquelles beaucoup peuvent se retrouver (bien plus que Shaquille O'Neal par exemple). Avec son 1,90m et ses 83 kilos, Stephen Curry est grand bien sûr, mais est loin de posséder la morphologie du basketteur NBA type (dans la grande ligue la taille moyenne est de 2,03m). Il est donc beaucoup plus facile pour un kid de se projeter en un Stephen Curry qu’en beaucoup d’autres.

Du coup, c’est logique, beaucoup essaient de reproduire son jeu, ses tirs, ses mimiques, mais aussi son handle. Curry régulièrement, rend publiques les images de ses échauffements lorsqu’il bosse son dribble, son agilité et travaille sa proprioception. Maintenant, une grande majorité de jeunes basketteurs reproduit les mêmes drills afin de pouvoir espérer à terme, reproduire le jeu de leur idole.

Si l’idolatration est si folle c’est aussi parce que Stephen Curry présente tout du gendre idéal. Il joue au basket en souriant, aime ce qu’il fait et possède un caractère très attachant. Surnommé baby face pendant longtemps, il n’hésite jamais à plaisanter ou à rire de lui-même sur les réseaux. Les émissions de cuisine auxquelles il a participé avec sa femme Ayesha par exemple sont juste épiques. Avec sa moitié, d'ailleurs, Stephen a deux enfants, deux filles, toutes les deux dotées d’un regard et d’un culot qui rappellent largement leur paternel. Tout comme Dell le faisait avec ses enfants, Steph emmène Riley et Ryan partout avec lui. Elles sont même devenues les attractions principales de plusieurs conférences de presse.

Puis, pour être le gendre parfaitement idéal, il faut aussi être altruiste. Là-dessus, difficile de reprocher quoi que ce soit à Steph. Constamment, il fait de gros dons à différentes œuvres de charité pour montrer son soutien. Et ça, il le faisait bien avant de signer son énorme contrat en 2017. En 2014, sachez qu’il a même remporté l’Assist Award, récompensant le joueur le plus actif auprès des associations caritatives. Bravo ! D'autant plus que si l’on fait le ratio avec le niveau de jeu qu’il affichait, il était à ce moment-là, l'un des joueurs les plus sous-payés de la ligue. Gros respect pour ça.

Alors si Stephen Curry est un excellent joueur qui évidemment marquera l’histoire de la grande ligue par son style de jeu et ses performances, les épiciers voulaient également mettre en valeur l’homme qu’il est et l’influence dont il fait preuve. Quand on mixe aussi bien les qualités humaines et celles qui sont liées à la balle orange, les fans deviennent accro. C’est bien ce que Stephen Curry a su provoquer chez son public tout au long de sa carrière.
Alors peut-être que certains le critiquent pour des raisons diverses, et notamment ses pertes de balle parfois nombreuses. Mais là dessus aussi, il taffe. A chaque ballon perdu, il paie à sa mère, une amende de 100 dollars. C’est tellement représentatif de la Curry Family ça. Et évidemment, les épiciers, en bons fans de la balle orange et de ceux qui la font vivre, ne peuvent qu’adorer !
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